La pompe à chaleur air-air, ou PAC air-air, est un système de chauffage et de refroidissement. Cet équipement facile à poser tire profit de l’énergie calorifique de l’air pour augmenter ou réduire la température au sein du foyer. Éligible à la prime énergie CEE, la pompe à chaleur air-air présente de nombreux avantages, bien que moins nombreux qu’un modèle air-eau par exemple. Coup d’œil sur le fonctionnement de cet appareil, ses atouts et les aides financières à l’installation.
La pompe à chaleur air-air, ou PAC air-air, est un système de chauffage et de refroidissement. Cet équipement facile à poser tire profit de l’énergie calorifique de l’air pour augmenter ou réduire la température au sein du foyer. Éligible à la prime énergie CEE, la pompe à chaleur air-air présente de nombreux avantages, bien que moins nombreux qu’un modèle air-eau par exemple. Coup d’œil sur le fonctionnement de cet appareil, ses atouts et les aides financières à l’installation.
Pas de MaPrimeRénov’
Malheureusement, la pompe à chaleur air-air n’est pas éligible à MaPrimRenov’, la prime de l’Anah (Agence nationale de l’habitat). Elle est en effet jugée moins performante que la version air-eau, qui assure à la fois la production de chauffage et d’eau chaude sanitaire.
De la même façon, l’équipement n’ouvre pas le droit à la TVA à taux réduit ni à l’éco-prêt à taux zéro (éco-PTZ).
Les primes énergie
Bonne nouvelle : l’installation d’une PAC air-air fait partie des opérations standardisées qui entrent dans le cadre des certificats d’économies d’énergie (CEE). Concrètement, cela signifie que vous pouvez profiter de la prime énergie CEE pour financer sa mise en place.
Cette aide est octroyée sous condition de ressources. Son versement nécessite cependant le respect de certains critères, tels que l’intervention d’un artisan RGE. En outre, la Pompe à chaleur air-air doit présenter une puissance nominale maximum de 12 kW et un SCOP minimal de 3,9.
Le montant de la subvention CEE est compris entre 30 € et 900 € selon la surface, le type d’habitation, ou encore la zone géographique.
Avant de vous lancer dans l’installation d’une pompe à chaleur, il est préférable de contrôler la bonne isolation du logement. C’est un prérequis important, car en cas de déperditions thermiques, votre foyer sera chauffé inutilement. D’ailleurs, c’est souvent le premier poste de travaux à traiter lors d’une rénovation globale.
Une fois votre maison bien isolée, vous pouvez alors envisager la pose de votre PAC. Celle-ci s’avère facile et rapide. Notez qu’un entretien régulier est indispensable pour garantir la performance de la machine, et optimiser sa durée de vie.
Le principe d’une pompe à chaleur (PAC) est d’utiliser l’énergie naturellement présente dans l’environnement extérieur pour chauffer le logement. En l’occurrence, la PAC air-air puise cette énergie dans l’air : on parle de pompe à chaleur aérothermique. Le mécanisme d’une PAC est identique à celui d’un réfrigérateur, mais inversé.
Le dimensionnement de la PAC : un élément à ne pas négliger
Le dimensionnement de la PAC conditionne son niveau de performance :
C’est au professionnel de déterminer le bon dimensionnement de votre future pompe à chaleur, en analysant les propriétés du bâti et sa situation géographique.
Combien coûte une pompe à chaleur air-air ?
D’après l’Ademe, le prix médian d’une PAC air-air est de 6 629 €. La fourchette des tarifs observés sur le terrain s’étend de 4 699 € à 11 283 €. Parmi toutes les pompes à chaleur, le système de chauffage air-air est le modèle le plus accessible. À titre comparatif, le coût médian d’une PAC air-eau s’élève à 12 668 €.
Selon l’Observatoire des énergies renouvelables, 758 270 pompes à chaleur air-air ont été vendues en 2021, soit une augmentation de près de 4 % par rapport à 2020.
Pas de MaPrimeRénov’
Malheureusement, la pompe à chaleur air-air n’est pas éligible à MaPrimRenov’, la prime de l’Anah (Agence nationale de l’habitat). Elle est en effet jugée moins performante que la version air-eau, qui assure à la fois la production de chauffage et d’eau chaude sanitaire.
De la même façon, l’équipement n’ouvre pas le droit à la TVA à taux réduit ni à l’éco-prêt à taux zéro (éco-PTZ).
Les primes énergie
Bonne nouvelle : l’installation d’une PAC air-air fait partie des opérations standardisées qui entrent dans le cadre des certificats d’économies d’énergie (CEE). Concrètement, cela signifie que vous pouvez profiter de la prime énergie CEE pour financer sa mise en place.
Cette aide est octroyée sous condition de ressources. Son versement nécessite cependant le respect de certains critères, tels que l’intervention d’un artisan RGE. En outre, la Pompe à chaleur air-air doit présenter une puissance nominale maximum de 12 kW et un SCOP minimal de 3,9.
Le montant de la subvention CEE est compris entre 30 € et 900 € selon la surface, le type d’habitation, ou encore la zone géographique.
Avant de vous lancer dans l’installation d’une pompe à chaleur, il est préférable de contrôler la bonne isolation du logement. C’est un prérequis important, car en cas de déperditions thermiques, votre foyer sera chauffé inutilement. D’ailleurs, c’est souvent le premier poste de travaux à traiter lors d’une rénovation globale.
Une fois votre maison bien isolée, vous pouvez alors envisager la pose de votre PAC. Celle-ci s’avère facile et rapide. Notez qu’un entretien régulier est indispensable pour garantir la performance de la machine, et optimiser sa durée de vie.
Le principe d’une pompe à chaleur (PAC) est d’utiliser l’énergie naturellement présente dans l’environnement extérieur pour chauffer le logement. En l’occurrence, la PAC air-air puise cette énergie dans l’air : on parle de pompe à chaleur aérothermique. Le mécanisme d’une PAC est identique à celui d’un réfrigérateur, mais inversé.
Le dimensionnement de la PAC : un élément à ne pas négliger
Le dimensionnement de la PAC conditionne son niveau de performance :
C’est au professionnel de déterminer le bon dimensionnement de votre future pompe à chaleur, en analysant les propriétés du bâti et sa situation géographique.
Combien coûte une pompe à chaleur air-air ?
D’après l’Ademe, le prix médian d’une PAC air-air est de 6 629 €. La fourchette des tarifs observés sur le terrain s’étend de 4 699 € à 11 283 €. Parmi toutes les pompes à chaleur, le système de chauffage air-air est le modèle le plus accessible. À titre comparatif, le coût médian d’une PAC air-eau s’élève à 12 668 €.
Selon l’Observatoire des énergies renouvelables, 758 270 pompes à chaleur air-air ont été vendues en 2021, soit une augmentation de près de 4 % par rapport à 2020.
Pas de MaPrimeRénov’
Malheureusement, la pompe à chaleur air-air n’est pas éligible à MaPrimRenov’, la prime de l’Anah (Agence nationale de l’habitat). Elle est en effet jugée moins performante que la version air-eau, qui assure à la fois la production de chauffage et d’eau chaude sanitaire.
De la même façon, l’équipement n’ouvre pas le droit à la TVA à taux réduit ni à l’éco-prêt à taux zéro (éco-PTZ).
Les primes énergie
Bonne nouvelle : l’installation d’une PAC air-air fait partie des opérations standardisées qui entrent dans le cadre des certificats d’économies d’énergie (CEE). Concrètement, cela signifie que vous pouvez profiter de la prime énergie CEE pour financer sa mise en place.
Cette aide est octroyée sous condition de ressources. Son versement nécessite cependant le respect de certains critères, tels que l’intervention d’un artisan RGE. En outre, la Pompe à chaleur air-air doit présenter une puissance nominale maximum de 12 kW et un SCOP minimal de 3,9.
Le montant de la subvention CEE est compris entre 30 € et 900 € selon la surface, le type d’habitation, ou encore la zone géographique.